samedi 23 février 2013

40.000 pages dans un seul livre

Il y a 100 ans, Thomas Edison,
  l'inventeur de l'ampoule électrique, a
  déclaré la mort du livre papier.
   
    Il a expliqué qu'il était possible
  d'imprimer des livres de... 40.000 pages
  sur de très fines feuilles de... nickel.
   
    500 grammes et 40.000 pages?
  Aujourd'hui sa prédiction s'est en
  partie réalisée.
   
    Le père noël m'a déposé un Kindle sous
  le sapin.
   
    Première surprise: son poids. Il est
  plus léger qu'un livre de poche.
   
    Deuxième surprise: sa facilité
  d'utilisation.
   
    J'ai trouvé, payé, téléchargé un roman
  de John Grisham en moins de 2 minutes.
   
    Tous mes achats précédents (sur iphone
  et ipad) se sont chargés en un clin
  d'oeil.
   
    Et ma collection de .pdf s'est chargée
  très rapidement, y compris tous les
  livres du Club.
   
    Quand je suis sur Internet, un nouveau
  bouton me permet d'envoyer la page sur
  mon Kindle pour une lecture ultérieure.
  C'est magique !
   
    Le confort de lecture donné par
  l'écran est très comparable à un livre
  papier.
   
    Il a une autonomie de presque un mois.
   
    Pas étonnant qu'Amazon ait du succès
  avec cet appareil. 
   
    Quand le premier Kindle est sorti,
  tout le stock a été vendu en 5 heures et
  demi, et il a fallu attendre près de 6
  mois pour pouvoir s'en procurer à
  nouveau.
   
    Aujourd'hui il s'en vend 1 million par
  semaine et il est sorti en France en
  octobre dernier.
   
    Un exemple: imaginez que vous veuillez
  lire le Figaro tous les matins. Cela
  vous coûtera 40 euros par mois. Si vous
  vous abonnez, vous passez à 20 euros. Si
  vous vous abonnez sur le Kindle, vous le
  recevez avant tout le monde, et
  l'abonnement passe à 12 euros. Et cela
  marche aussi pour Le Monde, Libération,
  Les Échos, etc.
   
    Dans une maison d'édition classique,
  l'auteur touche en moyenne 10 % de
  droits d'auteur. S'il publie sur le
  Kindle, il touche 7 fois plus, soit 70 %
  de droits d'auteur ! En fait, les
  auteurs et les auto-éditeurs touchent
  plus de droits d'auteur - même si le
  prix de vente est considérablement
  réduit.
   
    Je sais qu'en vous disant tout cela,
  je m'oppose à plein d'idées reçues. Il y
  a la sensation, le toucher du papier,
  son odeur, le rapport affectif que nous
  avons avec lui...
   
    Mais d'un autre côté, vous pouvez
  partir en vacances avec 1.400 livres
  dans votre Kindle, vous procurer des
  milliers d'ebooks gratuitement, et plus
  il y a de lumière (par exemple au soleil
  sur une chaise longue), plus l'écran est
  contrasté et facile à lire. Les
  caractères sont trop petits? Vous
  recomposez le livre à la taille de
  caractère de votre choix en 1 seconde.
   
    Vous pouvez même EMPRUNTER certains
  ebooks.
   
    Rien ne vous empêche de continuer à
  avoir une bibliothèque physique des
  livres que vous aimez le plus.
   
    Vous l'avez compris, le futur est au
  Kindle et à ses concurrents. Tout
  simplement pour des raisons économiques:
  les livres sont bien plus économiques
  sur le Kindle. On ne risque pas de les
  perdre. On les a sur son Ipad, Iphone,
  Itouch, PC, mac, en même temps.
   
    La technologie nous oblige à changer
  nos habitudes, mais c'est pour notre
  confort et notre bien-être.
   
     Vive le livre, vive le Kindle !
    
  ©2011 Christian Godefroy, Chesières
               www.cpositif.com

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